Rien de nouveau sous le ciel genevois

En deux semaines, nous n'avons eu qu'un seul cours jeudi matin dernier. Pour les étudiants québécois, nous avons aussi dû faire notre présentation oral au sujet de notre stage. Il faut dire qu'à Geneve, la pentecôte et l'ascension sont des journées fériées (cette année, le 13 mai et le 24 mai). Ce peu de nouveautés scolaires expliquent mon silence. Cela ne signifie pas pour autant que nous n'avons rien à faire, au contraire.
Au plaisir de vous retrouver la semaine prochaine.

Deux cours terminés

Il ne nous reste plus que deux cours à avoir, dont un qui n'est toujours pas commencé. Cette semaine, nous avons terminé celui sur la politique de service avec un exposé oral et celui sur l'évaluation avec la remise de notre travail final.

À l'OMS, il y a eu une intéressante discussion sur l'heure du midi avec Bill Thompson, connu principalement pour ses articles dans la section technologie du site de BBC News Online. La discussion portait sur l'utilisation que les grandes organisations devraient faire de la technologie 2.0. C'était très intéressant. Une des questions posée était celle de savoir jusqu'où il faut contrôler les collaborateurs qui travaillent dans les organisations. La peur du scandale et de la désinformation est souvent si forte que la plupart du temps, les outils sociaux ne sont utilisés qu'à sens unique, vers les utilisateurs, sans réellement permettre d'échange. Ils perdent donc tout les avantages qui les distinguent des sites internet traditionnels.

EAC et salon du livre

La semaine dernière se tenait la 8e conférence européenne sur l'archivage digital à Genève et plusieurs d'entre nous étaient concernés d'une manière ou d'une autre. Certains ont fait du bénévolat, pour ma part j'ai présenté la collaboration entre le service des archives et le département des comminucations aux participants qui sont venus visiter l'OMS vendredi. Cette implication explique un peu pourquoi vendredi après-midi il n'y avait que 5 personnes dans la classe...

La semaine passé s'est aussi déroulé le 24e salon du livre de Genève. Selon les organisateurs, ils n'ont eu une baisse de fréquentation que de 6,7% (98 000 visiteurs cette année), mais personnellement, lorsque je suis allée vendredi soir, c'était plutôt désertique. Beaucoup de conférences intéressantes, des boutiques diverses, une exposition artistique, des livres et des e-books. Semblable à Montréal.